Produit Bio 315 : Kyste de l’Ovaire Remède à Base de Plantes

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Kyste de l’Ovaire Remède à base de Plantes en 3 ou 8 Semaines. Si vous souffrez de kyste ovarien, alors voici le remède numéro 1 des Kystes

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Kyste de l’Ovaire Remède à base de Plantes en 3 ou 8 Semaines. Si vous souffrez de kyste ovarien, alors voici le remède naturel numéro 1 pour enlever les kystes ovariens et purifier les ovaires

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Kyste de l’Ovaire Traitement à base de Plantes

Les tumeurs ovariennes sont souvent latentes, de découverte fortuite lors d’un examen gynécologique. On différencie les cancers de l’ovaire des kystes ovariens qui ont des origines différentes. Les symptômes varient d’une patiente à l’autre. Le traitement proposé dépend de l’atteinte. 

Tout Savoir sur les Kystes de l’ovaire

Qu’est-ce que c’est ?

Les kystes sont des tumeurs, souvent bénignes, qui peuvent être comparées à des poches dont le contenu est liquide. Elles peuvent s’observer à tous les âges de la vie.

Sous le terme de kyste de l’ovaire, on distingue :

  • Les kystes organiques qui sont des tumeurs de l’ovaire, partiellement liquidiennes, en général bénignes, qui doivent être enlevés chirurgicalement car ils peuvent se compliquer ou dégénérer ;
  • Les kystes fonctionnels qui évoluent au cours du cycle menstruel et doivent être respectés, c’est-à-dire non opérés.

Kystes Organiques Kyste de l’Ovaire Remède à Base de Plantes

Les anatomo-pathologistes distinguent quatre sortes de kystes organiques de l’ovaire :

  • Les kystes muqueux, les plus fréquents (contiennent du mucus) ;
  • Les kystes endométriosiques (contiennent du sang) ;
  • Les kystes séreux (contiennent un liquide, comme de l’eau) ;
  • Les kystes dermoïdes (leur composition est similaire à de la peau, ils peuvent contenir des tissus graisseux).

Les signes de la maladie

C’est souvent une découverte fortuite, lors d’un examen médical pratiqué pour une toute autre raison.
Parfois, le kyste de l’ovaire entraîne des symptômes :

  • Des pesanteurs pelviennes, des tiraillements dans le petit bassin ;
  • Des signes de compression vésicale ou rectale (dysurie, pollakiurie) ;
  • Des troubles des règles (absence ou aménorrhée, règles peu abondantes ou oligoménorrhée, règles douloureuses ou dysménorrhée) ;
  • Une stérilité…

Ce sont les touchers pelviens qui permettent le diagnostic : toucher vaginal principalement et toucher rectal. La palpation met en évidence une masse dans le petit bassin, tendue, indolore, séparée de l’utérus (contrairement au fibrome). L’utérus est par ailleurs normal tout comme le col. Le diagnostic est ensuite confirmé par l’échotomographie ou la cœlioscopie.

Evolution de la maladie

L’évolution spontanée est émaillée de nombreuses complications :

  • Torsion : violente douleur dans le bas du ventre à début brutal avec nausées, vomissements, troubles du transit sans fièvre ;
  • Hémorragie intra-péritonéale ;
  • Rupture avec péritonite (douleur aiguë, état de choc, arrêt du transit intestinal, contracture des muscles de l’abdomen) ;
  • Infection : pelvi-péritonite ;
  • Dégénérescence cancéreuse (douleurs pelviennes, ascite hémorragique, amaigrissement rapide).

Au cours de la grossesse : les kystes peuvent se compliquer (torsion, infection, rupture). Un kyste abdominal peut gêner l’accouchement (dystocie mécanique). Les kystes pelviens forment des obstacles irréductibles à la descente du fœtus. L’intervention chirurgicale sur le kyste se justifie au cours du 4° mois une fois que le placenta remplace l’ovaire sur le plan hormonal.

Kyste de l’Ovaire Remède à Base de Plantes

Les kystes organiques

L’indication opératoire est formelle en cas de kyste organique, soit ablation de l’ovaire seul (ovariectomie) ou avec la trompe (annexectomie), soit ablation du kyste (kystectomie).

Les kystes fonctionnels de l’ovaire

Ces tumeurs kystiques non proliférantes sont dues à un trouble fonctionnel et régressent spontanément ou sous l’effet d’un traitement médical.

Les signes de la maladie

La patiente se plaint de douleurs pelviennes et de troubles des règles (retard, métrorragies etc…)

Le toucher vaginal permet au médecin de percevoir un ou deux gros ovaires douloureux. La taille des ovaires est variable chez une même patiente en fonction de la période du cycle.

Examens et analyses complémentaires

L’échographie pelvienne est primordiale. La cœlioscopie est nécessaire en cas de doute.

Causes et facteurs de risque

Le kyste folliculaire est un follicule de De Graaf (celui qui permet l’expulsion de l’ovocyte lors de l’ovulation) qui ne se rompt pas à sa date habituelle. Il provoque une aménorrhée puis des métrorragies lors de la rupture du follicule. L’échographie montre des images caractéristiques. Aucun traitement n’est nécessaire. La cause exacte n’est pas connue. Ces kystes folliculaires disparaissent spontanément durant les règles.

Les kystes fonctionnels infectieux sont fréquents lors des salpingites, ils disparaissent avec le traitement de l’infection.

Lors des stérilités traitées par induction d’ovulation, on constate parfois de très gros kystes de l’ovaire qui régressent spontanément en règle générale. Une rupture du kyste est toutefois possible dans ces syndromes d’hyperstimulation.

La dystrophie ovarienne polykystique

C’est le syndrome de Stein-Leventhal ou syndrome des ovaires micropolykystiques. C’est une anomalie des ovaires secondaire à un dérèglement de l’activité cyclique de l’ovaire, relevant de causes hypothalamo-hypophysaires.

Cliniquement, la femme se plaint parfois de douleurs pelviennes intermittentes, entre les règles, pendant ou avant les règles, d’un cycle irrégulier. Les ovaires sont gros, irréguliers, douloureux à la pression.

Parfois c’est une stérilité qui l’amène à consulter et qui permet de faire le diagnostic. Les cycles sont longs, un hirsutisme (pilosité excessive) peut être associé.

Les examens biologiques montrent :

  • Une hyperandrogénie (augmentation de la testostérone et de l’androstérone plasmatiques) ;
  • La LH plasmatique est élevée, la FSH normale ou diminuée.

L’échographie pelvienne permet le diagnostic, la cœlioscopie est parfois nécessaire, ainsi qu’une biopsie de l’ovaire (pour éliminer une tumeur maligne).

On trouve parfois une cause endocrinienne. Le traitement repose sur l’inhibition de l’ovulation par les oestroprogestatifs.

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Les cancers de l’ovaire

Les cancers de l’ovaire peuvent être primitifs ou secondaires, c’est-à-dire métastatiques (exemple : la tumeur de Krukenberg est une tumeur secondaire de l’ovaire dont l’origine est un cancer digestif). Il existe parfois des facteurs héréditaires.

Les symptômes sont banals et souvent peu spécifiques : troubles des règles (métrorragies) avec douleurs pelviennes. Une ascite (épanchement liquidien dans la cavité péritonéale), une pleurésie (épanchement liquidien dans la plèvre, autour du poumon) sont possibles.

Le toucher vaginal montre un gros ovaire, la cœlioscopie ou la laparoscopie permettent le diagnostic. Parfois des métastases pelviennes, abdominales, au niveau du foie ou de la plèvre sont révélatrices.

Des manifestations paranéoplasiques sont possibles.

Le traitement est chirurgical : on parle d’exérèse c’est-à-dire d’ablation. A la chirurgie sont associées la radiothérapie et la chimiothérapie. Des thérapies ciblées (bévacizumab) sont indiquées pour traiter des cancers au stade avancé.

Les dosages sériques de l’antigène CA 125 et de l’antigène CA 72-4 permettent de surveiller les effets du traitement.

Pour tout savoir sur ce type de cancer, lire notre dossier Le cancer de l’ovaire.

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