gingembre et épilepsie
gingembre et épilepsie
Vous le savez très bien, l’épilepsie est une maladie associée à des pathologies neurologiques du cerveau. De nos jours, c’est une maladie dont souffre beaucoup de jeunes même des enfants dans leur plus jeune âge. Ici, il sera question du gingembre et de l’épilepsie.
Avant de continuer, il faut rappeler que l’épilepsie est une maladie très souvent de cause inconnue mais qui se déclenche suite à :
- des facteurs héréditaires ;
- des blessures ;
- ou des maladies précédemment transférées.
De façon générale, elle se manifeste à travers les crises ou convulsions brusques et soudaines. De plus, il faut reconnaitre que ces crises peuvent être accompagner :
- de changements dans l’état psycho-émotionnel de la personne ;
- de fièvre ;
- ou même d’hallucinations.
Causes de la maladie
Elle n’a pas cause identifiable chez la moitié des personnes épileptiques. Dans l’autre moitié, la condition peut être attribuée à divers facteurs :
- Causes génétiques : environ 40 % des épileptiques ont une forme génétique ;
- Causes acquises : tumeur cérébrale, malformation congénitale, lésion cérébrale, traumatisme ;
- Causes vasculaires : accident ischémique ou hémorragique, malformation cérébrale, traumatisme crânien, AVC, maladie neurodégénérative évolutive ;
- Causes infectieuses : encéphalite, méningite, abcès cérébral ;
- Causes toxiques : une forte dose d’alcool, l’alcoolisme chronique ainsi que le sevrage, drogues type cocaïne ou amphétamine, antidépresseurs (surconsommation, surdosage ou sevrage).
Les crises focales ou partielles
Lorsque les crises semblent résulter d’une activité anormale dans une seule partie de votre cerveau, elles sont appelées des crises focales (partielles). Elles appartiennent à deux catégories :
a ) Crises focales sans perte de conscience ou crises partielles simples
Ces crises ne provoquent pas de perte de conscience. Elles peuvent altérer les émotions ou changer l’apparence des choses, l’odorat, la sensation, le goût ou le son.
Elles peuvent également entraîner des secousses involontaires d’une partie du corps, comme un bras ou une jambe, et des symptômes sensoriels spontanés tels que des picotements, des vertiges et des lumières clignotantes.
b ) Crises focales avec conscience altérée ou crises partielles complexes
Ces crises impliquent un changement ou une perte de conscience. Pendant une crise partielle complexe, vous pouvez regarder dans l’espace et ne pas répondre normalement à votre environnement ou effectuer des mouvements répétitifs, tels que le frottement des mains, la mastication, la déglutition ou encore tourner en rond.
Les symptômes de crises focales peuvent être confondus avec d’autres troubles neurologiques, tels que la migraine ou la narcolepsie. Un examen approfondi et des tests sont nécessaires pour distinguer l’épilepsie d’autres troubles.
Les facteurs de risque de la maladie
En effet, divers facteurs peuvent vous prédisposez à l’épilepsie. Il s’agit entre autre :
- L’âge : elle est plus fréquente chez les enfants et les personnes âgées, mais la maladie peut survenir à tout âge ;
- La génétique : si vous avez des antécédents familiaux d’épilepsie, vous avez plus de risque de développer ce trouble ;
- Blessures à la tête : elles sont responsables de certains cas d’épilepsie. Vous pouvez réduire les risques en suivant les règles de sécurité lors d’activité à risque comme le port du casque pour une balade à vélo ou en moto, la ceinture de sécurité lorsque vous êtes en voiture ;
- Accident vasculaire cérébral et d’autres maladies vasculaires. Les AVC et autres maladies vasculaires peuvent entraîner des lésions cérébrales susceptibles de déclencher l’épilepsie ;
- Démence. Elle peut augmenter le risque d’épilepsie chez les personnes âgées ;
- Infections du cerveau. Les infections telles que la méningite, qui provoque une inflammation dans le cerveau ou la moelle épinière, peuvent augmenter votre risque
Les crises généralisées de l’épilepsie
Les crises qui semblent impliquer toutes les régions du cerveau sont appelées crises généralisées. Six types de crises généralisées existent avec des signes différents :
1 – Crises d’absence
Les crises d’épilepsie, connues auparavant sous le nom de crises de petit mal, surviennent souvent chez les enfants et se caractérisent par un regard fixe dans l’espace ou par des mouvements corporels subtils tels que le clignement des yeux ou le claquement des lèvres. Ces crises peuvent survenir en groupes et provoquer une brève perte de conscience.
2 – Crises toniques
Elles provoquent un raidissement de vos muscles. Ces crises affectent habituellement les muscles du dos, des bras et des jambes et peuvent faire tomber par terre.
3 – Crises atoniques ou crises de goutte
Elles provoquent une perte de contrôle musculaire, ce qui peut entraîner un effondrement soudain ou une chute.
4 – Crises cloniques
Elles sont associées à des mouvements musculaires répétés ou rythmés, saccadés. Ces crises affectent habituellement le cou, le visage et les bras.
5 – Crises myocloniques
Ces crises apparaissent généralement comme de brusques secousses soudaines ou des secousses de vos bras et de vos jambes.
7 – Crises tonico-cloniques
Auparavant connues sous le nom de crises d’épilepsie. Ce sont le type le plus dramatique de crise épileptique : elles peuvent provoquer une perte soudaine de conscience, des raidissements et des tremblements et parfois une perte de contrôle de la vessie ou une morsure de la langue.
Les provisions pour éviter les crampes épileptiques
1 – Le magnésium
Il s’agit entre autres :
- des noix ;
- graines de tournesol ;
- les légumineuses et légumes verts ;
- carottes ;
- oignons verts
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Ces aliments facilitent l’excrétion de magnésium par les reins, l’alcool, caféine et d’autres diurétiques.
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2 – Le potassium
Vous ne consommez pas suffisamment de potassium ? Alors sachez que vous pouvez le compenser avec :
- les abricots secs ;
- le melon ;
- les bananes ;
- haricots ;
- les pommes de terre ;
- le brocoli ;
- foie de bœuf ;
- le lait sont introduits dans l’alimentation.
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3 – Le calcium
En effet, il faut savoir qu’il y en a assez dans :
- le sésame ;
- sardines dans l’huile ;
- légumes à feuilles vertes (brocoli, chou du jardin, feuilles de navet, asperges) ;
- le pain noir ;
- foie gras ;
- les noix et les figues.
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Remarque, il ne faut surtout pas oublier les produits laitiers qui sont très riches en calcium. D’autre part, il ne faut pas oublier qu’ils contiennent beaucoup de phosphore pouvant perturber l’équilibre minéral et ainsi donc provoquer des crampes musculaires. Aussi, il faut savoir que la vitamine D et le magnésium sont indispensables ; autrement le calcium ingéré ne sert à rien.
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4 – La vitamine D
Bien qu’il soit rare dans les aliments, il faut savoir que vous pouvez en avoir en grande quantité dans le foie de :
- morue et de flétan ;
- hareng ;
- maquereau ;
- thon ;
- et de maquereau.
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Aussi, sachez qu’il y en a dans :
- le jaune d’œuf cru ;
- les produits laitiers fermentés ;
- le fromage (fromage cottage) et le beurre
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Par ailleurs, il ne faut pas oublier que le soleil est considéré comme sa «source» la plus riche. Vous pouvez donc avoir de la vitamine D en vous y exposant mais attention, à son levée et très tôt le matin.
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5 – La vitamine E
C’est une vitamine qui ne se trouve que dans les plantes même si souvent il est en petite quantité dans les produits d’origine animales c’est-à-dire :
- le foie ;
- jaune d’œufs ;
- et le lait
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Vous en retrouverez suffisamment dans :
- les légumes frais ;
- les surgelés mais ils n’en contiennent que la moitié ;
- huiles végétales ;
- noix et grains entiers ;
- les épinards
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Alors sachez que vous devez introduire dans votre alimentation plus :
- d’épinards ;
- d’oignons;
- et de jus fraîchement pressés
Aussi, vous devez éviter tout mouvement pouvant déclencher les situations de crise notamment :
- le jogging
- la prise de charges lourdes ;
- les travaux physiques actif et intense.
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Par ailleurs, il faut reconnaitre que vous devez faire de temps en temps du sport, autrement, cela peut entrainer le résultat inverse tels que :
- le surmenage ;
- la transition d’une maladie << dormante >> à une forme active est possible
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Le traitement permet de réduire naturellement et d’espacer considérablement la fréquence des crises d’épilepsie. Il est fait de feuilles, racines et écorces dont les principes actifs empêcheront vos crises. Tout d’abord, il agit en bloquant l’influx électrique dans le cerveau en diminuant les réactions des neurones qui induisent les crises. Par la suite, grâce à sa propriété qu’il possède sur les récepteurs du cerveau, il augmente l’action contre les crises d’épilepsie.
C’est Damas! Je serai ravi de vous assister. Laissez moi un message par WhatsApp ou par mail damashouessou67@gmail.com
