Comment soigner le cancer de la prostate naturellement ?
Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez l’homme mais d’abord parlons de la prostate.
Qu’est-ce que c’est ?
La prostate est une glande de l’appareil reproducteur masculin située tout juste sous la vessie. Comme un anneau, elle entoure l’urètre, ce canal par lequel l’urine et le sperme sortent à l’extérieur du corps. Son rôle est de produire le liquide prostatique, un des composants du sperme avec le liquide séminal et les spermatozoïdes, de stocker temporairement le sperme avant l’éjaculation, puis de se contracter au moment de l’éjaculation, participant ainsi à l’expulsion du sperme.
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Cancer de la prostate définition
Un cancer de la prostate est une maladie qui se développe à partir de cellules de la prostate initialement normales qui se transforment et se multiplient de façon anarchique, jusqu’à former une masse appelée tumeur maligne.
Causes et facteurs de risque du cancer de la prostate
Si les origines exactes du cancer de la prostate restent encore méconnues, certains facteurs de risque ont toutefois été identifiés. Il s’agit de :
Âge
L’âge est le premier facteur prédisposant. En effet, le risque de développer un cancer de la prostate augmente avec l’âge. Ainsi, chez les hommes de plus de 60 ans, les cancers de la prostate sont extrêmement fréquents. Toutefois, les cellules cancéreuses se développent si lentement qu’elles ne posent en général aucun problème.
Antécédents familiaux
Les risques sont plus élevés lorsque le père ou un frère a déjà souffert de cette maladie, ce qui suggère une prédisposition génétique. Donc en gros, plus il y a de cas de cancers de la prostate dans le cercle familial, plus le risque est élevé.
La maladie de Parkinson
Malheureusement, les personnes atteintes de la maladie de Parkinson, de même que leurs proches jusqu’au troisième degré, courent un risque plus élevé de cancer de la prostate.
Obésité
Un homme en surpoids important présente un risque plus élevé d’avoir un cancer de la prostate dépisté à un stade avancé ;
L’inflammation ou infection de la prostate (prostatite)
En effet, elle augmente le risque de cancer de la prostate, quand elle dure longtemps ;
Grande taille
Il faut savoir que les hommes de grande taille présentent un risque plus élevé de cancer de la prostate.
Les pesticides
Les hommes ayant été exposés aux pesticides présentent un risque un peu plus élevé de cancer de la prostate, surtout s’ils ont des antécédents de cancer de la prostate dans leur famille. L’exposition au cadmium ou aux dérivés du caoutchouc en milieu professionnel augmente également le risque de cancer de la prostate.
L’alimentation et le cancer de la prostate
Une alimentation riche en matières grasses (notamment viandes transformées et viandes rouges) : les gros mangeurs de viandes transformées (charcuteries, bacon, saucisses) sont donc les plus à risque de cancer de la prostate.
Par ailleurs, il faut savoir que le tabagisme est également un facteur à ne pas négliger.
Différents stades du cancer de la prostate
On compte trois stades dans le cancer de la prostate :
- 1er stade : La tumeur est encore localisée dans l’enveloppe de la glande.
- 2ème stade : La tumeur grossit localement. Les cellules cancéreuses sont sorties de l’enveloppe, mais ne se sont pas répandues. Les premiers symptômes apparaissent.
- 3ème stade : Les cellules cancéreuses quittent la prostate et envahissent les ganglions et les os pour y former des métastases.
Symptômes du cancer de la prostate
Au début, le cancer de la prostate ne provoque aucun symptôme. Généralement, la maladie passe complètement inaperçue pendant de nombreuses années. Aussi, le cancer de la prostate ne s’accompagne pas de symptômes ou signes spécifiques.
En réalité, le cancer doit avoir atteint un volume important pour se manifester par des problèmes de compression des voies urinaires. Dans ce cas, il peut engendrer les symptômes suivants :
- le jet d’urine perd de sa force ;
- un besoin plus fréquent d’uriner, même durant la nuit ;
- une sensation de douleur ou de brûlure lorsque vous urinez ;
- des urines troubles ou contenant du sang ;
- douleurs ou raideurs fréquentes au bas du dos, aux hanches ou au haut des cuisses ;
- des changements au niveau génital : des érections douloureuses ou difficultés à avoir une érection
Notez que ces manifestations peuvent être reliées à une autre maladie de la prostate, comme l’hypertrophie bénigne de la prostate.
D’autres symptômes peuvent apparaître au fur et à mesure que la tumeur grandit ou envahit d’autres organes :
- des douleurs sourdes dans le bas-ventre ou le bas du dos ;
- une irritation du rectum ;
- une hématurie;
- une impuissance sexuelle ou dysfonction érectile ;
- un œdème (gonflement) au niveau d’une jambe ou de la verge, lorsque la tumeur envahit le système lymphatique ;
- une fracture spontanée ou des douleurs osseuses, lorsque des métastases apparaissent dans les os (il n’est pas rare que la maladie soit seulement détectée à ce stade)
Notez que ces symptômes sont d’apparition tardive.
Comment se prévenir d’un cancer de la prostate ?
En effet, certaines habitudes de vie peuvent aider dans la prévention de ce cancer. Il s’agit :
- d’être actif ;
- de ne pas fumer ;
- d’éviter les excès de calorie ;
- d’avoir un apport équilibré en graisse ;
- de consommer suffisamment de fruits et de légumes
Vous avez plus de 50ans ? Pensez à discuter avec votre médecin ou professionnel de santé des risques d’un cancer de la prostate et de la pertinence du dépistage.
Du dépistage ? Oui! En réalité, deux (02) tests peuvent être utilisés par les médecins pour tenter de dépister de manière précoce un cancer de la prostate chez des hommes qui n’ont aucun symptôme. Il s’agit du :
- toucher rectal ;
- test de l’antigène prostatique spécifique
Cependant, leur usage est controversé dans certains pays car les autorités médicales ne recommandent pas le dépistage précoce chez les hommes sans symptômes. Il n’est pas certain qu’il améliore les chances de survie et allonge la durée de vie. Ainsi, il se pourrait donc que, pour la majorité des hommes, les risques (inquiétudes, douleurs et séquelles possibles en cas d’évaluation approfondie à l’aide d’une biopsie) l’emportent sur les bienfaits du dépistage.
Traitements naturels du cancer de la prostate
Racines d’ortie
L’ortie dioïque ou grande ortie (Urtica dioica) est souvent citée pour ses vertus anti-inflammatoires et pour empêcher la croissance du tissu prostatique. Pour cette indication, c’est la racine qui est utilisée, surtout au début des troubles, car elle permettrait de ralentir l’évolution de l’adénome et de réduire la fréquence des mictions.
Palmier nain et prunier d’Afrique
Fréquemment associé à l’ortie, le palmier nain ou palmier de Floride anciennement dénommé « Sabal serrulata », est l’autre plante associée à la prostate et aux troubles de la miction en phytothérapie. Ce sont les fruits de ce petit palmier des États-Unis qui sont utilisés et présentés sous forme de médicament. Quant à l’écorce de prunier d’Afrique (Prunus africana), il a une efficacité identique, mais ce grand arbre originaire de Madagascar serait en voie de disparition, et pour cette raison, il est préférable de se tourner vers le palmier de Floride.
L’épilobe
Cette belle fleur rose fréquente dans les Alpes paraît prometteuse pour traiter l’hypertrophie de la prostate.
Vous avez également le remède naturel contre le cancer de la prostate.
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