Tout Savoir du SIDA Tout Savoir du VIH Traitement SIDA

Traitement Sida Guérison VIH Tout savoir sur le Sida afin de prendre les bonnes décisions pour guérir du sida et mettre le virus VIH ( HIV ) hors d’état de nuire. Il y a plusieurs plusieurs traitements contre le SIDA  et quel traitement choisir pour guérir du sida et mettre le hors du corps ou hors d’état de nuire.  Une fois atteint par le VIH ou une fois déclaré séropositif, on se pose mille et une question. Qu’est ce que le sida? Comment se transmet le sida? Peut-on guérir le Sida? Traitement du sida pour guérir  du sida ou pour mieux vivre avec le sida.

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Les Lymphocytes T CD4

Les lymphocytes T CD4+ sont des cellules du système immunitaire dont la prolifération permet de diriger et d’activer d’autres cellules de l’immunité, comme les lymphocytes B, pour éliminer un pathogène. Ils doivent leur nom aux marqueurs protéiques CD4 retrouvé sur la surface de leur membrane. Les cellules T CD4 ont pour rôle de coordonner la réponse immunitaire lorsqu’un virus se présente. Lorsque le VIH utilise les cellules CD4 pour se propager, il les endommage et les détruit. Les  lymphocytes T sont  les cibles privilégiées du VIH, et leur destruction conduit à l’arrêt du fonctionnement du système immunitaire, amenant alors au stade Sida

Qu’est ce Que le VIH ou HIV

Le VIH ( virus de l’immunodéficience humaine) est un rétrovirus qui s’​attaque aux cellules  T CD 4 du système immunitaire et les détruit ou les rend inefficaces . Il affaiblit le système immunitaire qui sont  les défenses innées de votre corps contre les maladies. Ce qui distingue le VIH des autres virus, c’est qu’il s’en prend  au système immunitaire et prend le contrôle des cellules T CD4. Ainsi  le VIH mine de l’intérieur le système immunitaire qui a pour rôle de le combattre . Tôt ou tard le virus va agir. Sans traitement le virus va  créer la maladie SIDA.  Cependant, grâce à notre traitement avec la tisane 128, la plupart des personnes séropositives peuvent rester en bonne santé et vivre une longue vie épanouie.

Le HIV-1 et le HIV-2

Le HIV -1 ou VIH-1 et le HIV-2 ou VIH-2 sont les deux formes du HIV  virus de l’immunodéficience humaine . Le HIV appartient à la famille des rétrovirus et se transmet par voie sexuelle principalement sans oublier la voie sanguine. Le VIH 1 plus virulent a été découvert d’abord et est mondialement plus répandu, alors que VIH-2 est moins pathogène et très présent en Afrique de l’ouest. Ainsi quand nous disons généralement le VIH, nous nous référons à VIH-1. Une fois dans l’organisme, il fragilise le système immunitaire et crée à terme le SIDA. On rencontre parfois les deux formes chez la même personne

Qu’est ce le VIH 1 et le VIH 2? Quelle est la Différence entre les Deux?

Les différences principales entre les infections VIH-1 et VIH-2  réside dans le mécanisme de la pathogénie rétrovirale, qui n’est pas entièrement claire encore. Selon le centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), 166 cas de VIH aux USA recensés entre 1988 et 2010 ont contacté la définition du centre de l’infection VIH-2. La majorité de cas étaient rapportée dans le nord-est et provenu de ou ont été liées à l’Afrique de l’ouest

Le sida/VIH

Le VIH détruit le système immunitaire et crée une maladie appelée SIDA (syndrome d’immunodéficience acquise).  L’organisme étant sans défenses, si la maladie SIDA n’est pas traitée, de graves maladies peuvent survenir. Beaucoup de maladies anodines peuvent devenir mortelles. Des infections normalement simples, comme une grippe ou une bronchite, peuvent s’aggraver, devenir très difficiles à traiter ou même entraîner le décès. De plus, le risque de cancer est aussi accru.

Transmission

Le VIH se transmet par les liquides corporels : le sang, le sperme, les sécrétions vaginales et le lait maternel. Ces fluides corporels ne transmettent le VIH que s’ils sont au contact d’une zone qui le laisse entrer dans l’organisme, une muqueuse. La peau saine est imperméable au VIH.

Le plus souvent, le virus est contracté au cours d’activités sexuelles non protégées ou l’était dans le passé par l’échange de seringues chez les utilisateurs de drogues injectables. Le risque de transmission par des baisers avec échange de salive est nul.

Dans la plupart des pays industrialisés, les rapports de pénétration anale entre hommes constituent la plus importante voie de transmission du VIH. Cependant, la transmission hétérosexuelle a fortement progressé depuis le début de l’épidémie.

Le VIH ne se transmet pas des manières suivantes 

On ne peut pas le contracter par une poignée de main, par la sueur ou les larmes. Il n’est pas véhiculé par des insectes. On ne le contracte pas sur les sièges de toilette, ni en nageant dans les piscines publiques, en partageant la nourriture ou en utilisant le linge, les serviettes ou le téléphone d’une personne infectée.

L’épidémie

  • En Amérique du Nord, les premiers signes de l’épidémie sont apparus à la fin des années 1970. Les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH) ont été les premiers touchés ;
  • Le virus du VIH a été isolé en 1983 ;
  • Le premier traitement antirétroviral, l’AZT, a été découvert en 1987. La trithérapie, associant plusieurs médicaments beaucoup plus efficace, est devenue disponible au milieu des années 1990, puis des traitements antirétroviraux (TAR) de plus en plus puissants permettent de penser qu’un jeune adulte séropositif commençant rapidement son traitement pourra vivre jusqu’à 80 ans ou plus. Avec ces traitements, on arrive souvent à une charge virale indétectable, même si le virus n’est toujours pas éradiqué de l’organisme.
  • Environ 35 millions de personnes dans le monde vivent aujourd’hui avec le VIH. Les deux tiers d’entre elles résident en Afrique subsaharienne1.
  • En Amérique du Nord, 1,3 millions de personnes vivent avec le VIH, en Europe occidentale et centrale, 840 000, et en Afrique Sub-Saharienne 22,9 millions35.
  • En France, 150 00 personnes vivent avec le VIH donc 50 000 ne sont pas suivies donc pas soignées.
  • Le nombre de personnes séropositives augmente dans le monde, avec 2,5 millions de nouvelles contaminations par an et 1,5 millions de décès. Cela est dû à l’amélioration considérable de l’efficacité des traitements.
  • Environ 7000 découvertes de séropositivité en France (chiffres 2012) dont près de la moitié chez les HSH (hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes), et 3000 décès du sida dans l’année.
  • Au Canada, 71 300 personnes vivaient avec le VIH en 201136. On estime à 3175 le nombre de nouvelles infections en 2011. Toutefois, cela sous-estime le nombre réel de cas, car on évalue que 25 % des Canadiens infectés par le VIH ignorent l’être.

VIH-Sida, une maladie de mieux en mieux soignée

On sait aujourd’hui qu’une personne séropositive bien soignée présente un risque extrêmement bas de transmettre le VIH lors de relations sexuelles, sous certaines conditions :
– Le traitement est pris régulièrement,
– Il entraîne une charge virale indétectable (ou charge virale sous le seuil des 50  copies/ml dans le plasma pendant plus de 6 mois et au dernier test le plus récent),
– La mesure de la charge virale se fait régulièrement, au moins tous les 3 ou 4 mois

– Les deux partenaires personne ne présentent pas d’infection sexuellement transmissible.

Aucun traitement ne permet actuellement de guérir le SIDA ni d’éliminer le VIH du corps, même lorsqu’il devient indétectable par les examens. Cela ne signifie pas que le virus soit éradiqué de l’organisme. Cela dit, avec les traitements appropriés, une personne séropositive peut maintenant vivre longtemps. L’infection au VIH est devenue une maladie chronique. Les personnes séropositives restent cependant susceptibles de transmettre le VIH toute leur vie, surtout si elles ne sont pas bien traitées.

Non traitée, l’infection VIH entraîne le SIDA et finit par entraîner la mort. L’infection par VIH se soignant de mieux en mieux, certaines populations à risque relâchent leurs efforts de prévention.

Évolution de l’infection vers le sida
  • 1re phase – primo-infection. Dans les semaines qui suivent l’infection, environ le tiers des personnes touchées présentent des symptômes semblables à ceux de la grippe ou de la mononucléose : fièvre, maux de tête, maux de gorge, rougeurs sur la peau, fatigue, douleurs musculaires, etc. Ces symptômes disparaissent d’eux-mêmes, mêmes sans traitement.
  • 2e phase – infection asymptomatique. Le virus peut vivre dans l’organisme pendant de nombreuses années sans provoquer de symptômes. La personne peut donc avoir l’impression de ne pas être malade, mais elle est susceptible de transmettre le VIH. La séroconversion – le moment où une personne séronégative (pas d’anticorps dans le sang) devient séropositive (présence d’anticorps dans le sang) – se produit durant cette phase, 1 à 3 mois après l’infection.
  • 3e phase Phase SIDA (syndrome d’immunodéficience acquise) ou à infections symptomatiques. Si elle n’est toujours pas traitée, la personne ressent un ou des symptômes liés à l’infection au VIH (fatigue, diarrhée, gonflement des ganglions, perte de poids, sueurs nocturnes, fièvre, etc.).
  • 4e phase –  Si le nombre de cellules immunitaires (lymphocytes T CD4) devient est très bas et que le corps n’arrive plus à lutter contre d’autres infections ou maladies, le diagnostic de SIDA est posé. Les symptômes de l’infection deviennent plus apparents et constants. De plus, des infections opportunistes peuvent causer d’importants problèmes de santé. Les infections opportunistes sont des infections qui habituellement ne sont pas graves, mais qui le deviennent chez les personnes à très faibles défenses immunitaires. Parmi les maladies opportunistes, on retrouve par exemple la candidose, la pneumonie, la tuberculose, les infections à l’herpès, et aussi des cancers (notamment des lymphomes et le sarcome de Kaposi).

Remarque. Les recherches ont montré que les maladies cardiovasculaires sont plus courantes chez les personnes séropositives, car leur organisme est soumis à un degré plus élevé d’inflammation. On sait que l’inflammation participe à la formation de plaques dans la paroi des artères, ce qui peut gêner la circulation du sang. De plus, des cas de dégénérescence cognitive (par exemple, la maladie d’Alzheimer) reliés à l’infection au VIH ont aussi été rapportés.

Traitement Sida Guérison VIH avec Les Plantes

Les conseils présentés dans ce chapitre sont basés sur les connaissances acquises par les personnes vivant avec le VIH/SIDA en matière de remèdes et de traitements à base de plantes. Les auteurs de cet ouvrage ne prétendent pas avoir la compétence technique pour cautionner leur efficacité thérapeutique.

En matière de santé et de nutrition, de nombreuses communautés ont leur propre savoir basé sur les traditions locales et leur culture. Il est important de comprendre et d’être sensible à ces croyances populaires et aux nombreux types de soins traditionnels disponibles. Ils représentent une alternative à la médecine générale classique et seront la seule option possible pour de nombreuses personnes. Toutes les recommandations médicales extérieures que les personnes reçoivent seront comparées à leurs pratiques culturelles et aux recommandations de leur guérisseur traditionnel. Les personnes ne les suivront que si les recommandations qu’elles reçoivent leur semblent sensées et leur apportent quelque chose.

Certaines croyances et pratiques alimentaires traditionnelles peuvent être inutiles. Il est important de mieux comprendre les pratiques locales et d’expliquer aux personnes vivant avec le VIH/SIDA ainsi qu’aux guérisseurs traditionnels quand et pourquoi de telles pratiques doivent être évitées. Néanmoins, les bonnes pratiques traditionnelles qui fournissent des remèdes immédiatement accessibles, efficaces et à bon marché doivent être identifiées et promues.

Traitements traditionnels: Traitement Sida Guérison VIH

Les traitements traditionnels diffèrent énormément d’une région à l’autre et sont souvent très spécifiques à un lieu. Par conséquent, les traitements localement reconnus et disponibles doivent être pris en considération et leurs avantages et inconvénients débattus. L’information peut être obtenue au sein des cliniques, des centres de soins et des organisations de soutien et d’information locale du VIH/SIDA. Dans certains pays, les associations de guérisseurs traditionnels peuvent également apporter des informations supplémentaires.

Le traitement de la maladie génère souvent une frustration chez les personnes souffrant du VIH/SIDA. Les personnes souffrant du VIH/SIDA se posent souvent beaucoup de questions sur le traitement de la maladie.

Le VIH/SIDA est une maladie récente et, jusqu’à présent, il n’a pas été prouvé que les médicaments traditionnels peuvent traiter le VIH et soigner le SIDA. Cependant, certains médicaments traditionnels peuvent aider à traiter de nombreux symptômes des infections opportunistes qui sont une conséquence du SIDA. Alors que certains de ces médicaments peuvent incontestablement être utiles, d’autres peuvent se révéler dangereux, car ils peuvent faire plus de mal que de bien. Ils peuvent être chers et compromettre encore davantage le budget familial et notamment le budget alimentaire. Ils peuvent aussi entraîner la mise à l’écart de certains aliments. Il est donc toujours recommandé de discuter des traitements avec un agent de santé ou un nutritionniste et d’éviter tout traitement ou pratique telle que le jeûne, qui pourrait peut-être réduire la consommation alimentaire et entraîner une perte de poids.

Les Plantes Médicinales Contre le VIH SIDA

Les plantes médicinales bien choisies  boostent l’immunité naturelle, facilitent la digestion, stimulent l’appétit, protègent le foie et les organes vitaux ( cœur, cerveau, poumons, reins, veines et artères. Nous vous donnons une liste  de plantes médicinales amies des personnes vivant avec le VIH/SIDA. Ces plantes aident beaucoup mais, elles n’auront pas le même effet sur tout le monde. La liste n’est pas exhaustive et les recherches continuent afin de mieux  aider les séropositifs hommes et femmes à vivre mieux sans jamais développer le sida. Nous avons les tisanes 128, 127 et 373 qui marchent à merveille.  Cependant, elles ne peuvent remplacer une alimentation saine ni se substituer à un régime sain et équilibré.

Herbes

Bénéfices tirés par certaines personnes vivant avec le VIH/SIDA

Mode d’emploi

Aloès

Aide à soulager la constipation et à booster l’immunité naturelle. Aloès vera est antioxydant

L’utiliser comme extrait; faire bouillir et boire la décoction. Prendre demi verre, 2 fois par jour

Basilic

plante relaxant, antiseptique, digestive, elle  aide à soulager la nausée et facilite la digestion

Ajouter aux aliments pour traiter la nausée et les problèmes digestifs. Utiliser en gargarisme pour les maux de bouche

Calendula

Les fleurs ont une fonction antiseptique, anti-inflammatoire et curative. Aune action sur les infections de la partie supérieure du tube digestif

Utiliser en compresses pour traiter les plaies infectées. En tisane, pour favoriser la digestion

Cardamome

Facilite les fonctions digestives, soulage la douleur, la diarrhée, la nausée, les vomissements et agit sur la perte d’appétit

Ajouter aux aliments durant la cuisson ou la préparer en tisane

Cayenne

Stimule l’appétit, aide à lutter contre l’infection, soigne les ulcères et les inflammations intestinales

Ajouter une pincée sur les aliments crus ou cuits. Pour une boisson énergétique, ajouter aux jus de fruits ou à de l’eau

Camomille

Facilite la digestion et soulage les nausées

Préparer une tisane avec les feuilles et les fleurs et boire plusieurs tasses par jour

Cannelle

Efficace contre les rhumes et en cas de fatigue après une grippe ou un rhume. Egalement utilisée quand la personne a froid, en cas de diarrhées et de nausées. Stimule l’appétit. Stimule en douceur l’appareil digestif, favorisant le transit intestinal

À ajouter aux plats ou en tisane, en particulier la tisane de cannelle au gingembre pour les pneumonies ou la tuberculose (voir recette Annexe 1)

Clou de girofle

Stimule l’appétit, aide les digestions difficiles, soulage la diarrhée, les nausées et les vomissements

Utilisé dans les soupes, les ragoûts, les jus de fruits chauds et les tisanes

Coriandre

Ouvre l’appétit et réduit les flatulences, a des propriétés bactéricides et antifongiques

Ajouter les feuilles dans les plats

Eucalyptus

Aune fonction anti-bactérienne, en particulier sur les poumons et en cas de bronchites. L’huile d’eucalyptus obtenue à partir des feuilles, augmente le flux sanguin et réduit les symptômes de l’inflammation

Préparer une tisane à partir des feuilles ou avec de l’extrait (voir recette Annexe 1)

Fenouil

Ouvre l’appétit, combat les flatulences et expulse les gaz

L’utiliser comme une épice sur les aliments ou utiliser les graines pour en faire une tisane. Ne l’utiliser qu’en petites quantités

Ail

Aune fonction anti-bactérienne, antivirale et antifongique, en particulier au niveau de l’appareil intestinal, des poumons et du vagin. Facilite la digestion et diminue la sensation de faiblesse. Bon également contre le muguet, les infections de la gorge, l’herpès et la diarrhée

En tisane ou en boisson énergétique (voir recette Annexe 1) ou en cuisine

Gingembre

Améliore la digestion, a un effet énergisant, soulage la diarrhée et stimule l’appétit. Utilisé pour le traitement du rhume, de la grippe et des nausées

Utiliser soit comme épice dans les plats ou en tisane (voir recette Annexe 1)

Citron

A des propriétés anti-bactériennes et facilite la digestion

Ajouter du jus de citron dans les aliments ou les boissons

Citronnelle

A un effet calmant, apaise la digestion et calme le stress

A boire en tisane

Menthe

A un effet anti-inflammatoire et facilite la digestion

A boire en tisane ou en gargarisme pour les maux de bouche. Mastiquer des feuilles de menthe pour faciliter la digestion

Neem

Fait chuter la température

Prendre une brindille fraîche de neem, ôter les feuilles et faire bouillir l’écorce dans de l’eau, boire en infusion. L’écorce peut également être mastiquée

Persil

Réduit les coliques intestinales. Stimule les sécrétions gastriques et ouvre l’appétit. Les graines sont utilisées dans les cas de rétention d’eau

Manger cru ou cuit avec les aliments

Menthe poivrée

Agit contre la nausée. Réduit les coliques (douleurs abdominales et crampes), agit sur les diarrhées et stoppe les vomissements. Utilisée pour soulager la tension et contre les insomnies

En infusion, faire bouillir les feuilles environ 10 minutes. En ajout sur les plats. (Il est facile de faire pousser cette plante dans le jardin ou dans un pot près de la maison)

Thym

Aune fonction antiseptique et antifongique. Soulage la toux nerveuse et augmente les sécrétions des muqueuses. Stimule la digestion et le développement de la bonne flore intestinale

En gargarisme ou en bain de bouche, en douche vaginale ou en infusion (particulièrement efficace pour l’intestin)

Curcuma

A des propriétés digestives, antiseptiques et antioxydantes

Utilisé en poudre dans le riz, les céréales, etc.

Le fait que le VIH prend directement le contrôle du système immunitaire le rend particulièrement dangereux. Pour découvrir comment le virus parvient à entrer dans les cellules immunitaires appelées lymphocytes T CD4 et à s’y multiplier, utilisez notre schéma interactif (au haut de la page).

Zougnon

M Zougnon Houedegnon Professeur certifié de Mathématiques diplomé de l' ENS BENIN Naturothérapeute diplomé de Vie et Action FRANCE Tradipraticien formé à la traditionnelle Membre de l'association des tradipraticiens du Benin et de la RCI

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